Participants : Monique de Bellefond, Marie Cécile et Philippe
Brodier, Philippe Borrini, Yannick Lemaître, Jean Cuisenier,
Hubert de La Taille, Marielle Allut. Americo Miguens.
Introduction
Il s'agit de la troisième réunion au sein de la paroisse St
.Augustin, sur le thème «Autorité et participation », choisi au
départ parmi dix pôles de réflexion proposés par le synode.
Les contributions des groupes locaux devaient être transmises pour
le 15 février à l’évêché. Cette date a été reculée en mars.
Les deux premières réunions, les 2 décembre et 11 janvier ont
donné lieu à des comptes-rendus transmis aux participants.
Elles ont mis l'accent sur les formes spécifiques d'ouverture au
monde non croyant, ou non pratiquant dans notre région rurale où
les visiteurs sont nombreux. Même au sein de la population
locale, les occasions sont nombreuses de porter une parole
spécifiquement chrétienne.
Nous avons beaucoup examiné les formes possibles de participation
des chrétiens. Est il possible de les mettre en relation avec la
manière dont s'exerce l'autorité dans l’Église.
Discussion
Au delà des formes institutionnelles de l'Eglise, qui sont mises
en question par les agissements dénoncés par la CIASE et dans
d'autres pays, le synode invite à réfléchir sur la manière de «
faire
Eglise» là où nous nous trouvons. Les prêtres sont peu nombreux.
Ils ne peuvent pas tout faire et ils sont appelés à devenir moins
nombreux dans un avenir proche. Cela ne doit pas altérer le
dynamisme des communautés chrétiennes. Celles ci peuvent
s'inscrire dans les paroisses, sans être nécessairement
identifiées comme initiatives paroissiales. Cela dépend de petits
groupes qui se
réunissent et qui partagent l’Évangile.
C'est d'autant plus important en milieu rural, où les gens sont
dispersés et ont besoin de se rencontrer pour se conforter dans
leur existence et leur foi.
De tels petits groupes existent déjà, comme les communautés
franciscaines, ou le groupe d'étude biblique animé par le frère
Pierre Yves de Taizé.
Bien entendu ces initiatives ne doivent pas devenir des chapelles
coupées de la célébration commune. Ce sont des lieux d’Église. Là
où il y a des chrétiens rassemblés il y a Église.
Les préparations de messe chaque semaine devraient être une
occasion de partage, mais peu de gens y participent, ce qui est
dommage, car c'est une occasion de partage de la Parole et
d'échange sur la manière de la mettre en valeur.
La seule lecture lente des textes devrait permettre de les méditer
et de se les approprier en les entendant.
Il est difficile de faire Église, lorsque le seul rassemblement
est la liturgie dominicale, où le caractère rituel et universel ne
laisse pas beaucoup d'espace à l'expression propre d'une
communauté, avec son caractère spécifique et ne permet pas
l'expression de chacun.
Il faudrait du moins promouvoir des gestes forts au sein de ces
célébrations, reliés aux temps liturgiques. Cela a été l'occasion
au cours de l'Avent, où les prières universelles ont été
matérialisées
par un arbre où elles étaient suspendu leur support écrit.
L'Offertoire est aussi un moment où l'on peut présenter des
intentions particulières de l’Église locale.
Le dimanche de la Santé est un moment proposé, où peuvent aussi
s'exprimer les préoccupations de gens que nous
connaissons,malades, soignants, visiteurs, aidants qui peuvent
s'exprimer à l'occasion de notre célébration. Ce sont les
souffrances des malades et de ceux qui les assistent que l'on va
de notre célébration. Ce sont les souffrances des malades et de
ceux qui les assistent que l'on va porter sur l'autel sous forme
d'offrande reliée à la vie donnée par le Christ.
Le sacrement des malades peut être donné au cours d'une messe.
Le Jeudi saint met en scène le partage de l'Eucharistie. C'est un
geste fort, que l'on aimerait renouveler. Mais il n'est sans doute
fort que dans le cadre d'un calendrier liturgique qui culmine avec
la Semaine Sainte et Pâques.
Les sens doivent être sollicités dans l'appréhension du mystère.
L'encens y contribuait, mais de manière très ritualisée, avec une
composante hiérarchique marquée...
L'expérience de partage d’Évangile lors du dimanche de la Parole
n'a pas été vraiment concluante, étant donné les réticences des
gens à s'exprimer. C'est en petit groupe que cette prise de parole
se fait le mieux. On peut se demander si ce n'est pas cela qui
prime, plutôt que toute la démarche synodale !!
La place du prêtre et des ministères dans l’Église est aussi
abordée.
Le prêtre ne doit pas être seulement un célébrant et un prêcheur.
Il serait bon qu'il soit présent à la sortie de la messe pour
rencontrer les paroissiens.
Les participations plus ou moins spontanées de paroissiens dans
l'animation des célébrations (musique, chant, distribution de la
communion...) pourraient être plus ou moins officialisées par un
geste ou une parole.
Un autre axe de discussion a été la possibilité pour l’Église
d'adopter un langage qui soit audible par nos contemporains. Ce ne
sont pas seulement les structures ecclésiales qui reflètent des
rigidités remontant à plusieurs siècles, ce sont aussi les modes
d'expression, qui ne sont plus comprises, qui ne font plus sens et
qu'il faudrait re-ancrer dans l’Évangile.
Nous avons du mal à concevoir une Église où les prêtres soient
forcément célibataires, où les femmes n'aient pas leur place, où
l'Incarnation soit en rupture avec la famille traditionnelle, où
l'infaillibilité pontificale surplombe les débats dans l’Église.
Nous sommes aux prises avec une opinion publique qui a changé son
regard sur l’Église avec les scandales de pédocriminalité et
l'occultation des responsabilités.
Faut-il faire place nette pour reconstruire l’Église sur d'autres
base et offrir une image davantage en phase avec les
préoccupations des gens, des jeunes en particulier ?
Peut-être faut-il garder présentes les questions qu'on se pose.
Les changements nécessaires supposent des transitions pour ménager
des sensibilités différentes.
Conclusion
Une dernière réunion dans le cadre du synode a été prévue le mardi
1° mars à 18h.
Il s'agira de réaliser une synthèse des discussions, permettant
une remise à l'échelon diocésain.permettant une remise à l'échelon
diocésain.
Prévoir les axes forts à retenir et transmettre.
Participants : Yannick Lemaitre, Dominique Olislaegher, René
Aucourt, Americo Miguens, Marie Cécile et Philippe Brodier, Hubert
de La Taille, Geneviève Puech.
Hubert indique le contexte de cette deuxième réunion paroissiale
sur le synode en cours.
Cf 1*réunion le 2 décembre 2021 : Martine, coordinatrice des 3
paroisses, a fait suivre le compte rendu par mail à tous les
paroissiens inscrits sur le listing , pole 8 idem.
Au cours des 20 dernières années la paroisse St Augustin a
expérimenté des formes différentes d'autorité et de participation.
Plus généralement il a été observé que le fonctionnement des
paroisses dépend beaucoup du rôle plus ou moins volontaire
qu'exercent les prêtres qui en sont en charge.
Toutefois la volonté de participation des paroissiens doit être
réinterrogée en parallèle : nous assistons réellement à un
vieillissement des paroissiens dans nos campagnes, sauf lors des
vacances et fêtes ou les enfants et/ou résidents secondaires sont
présents aux offices…pas de représentant sur Bray depuis plusieurs
mois, et recherche d’une personne sur Cormatin pour prendre le
relais.
La nouvelle organisation, sous l'autorité d’un curé responsable
de trois paroisses et animant une équipe de prêtres résidents
comme lui à Cluny, avec une succession de célébrants le dimanche,
ne représente-t-il pas un défi supplémentaire, mettant à l'épreuve
cette participation laïque souvent revendiquée ? proposition :
s’engager à définir chaque année les axes forts de l’animation
pastorale, fixer les objectifs de l’année.
L’idée serait que les chrétiens laïcs jouent un rôle central, le
prêtre apporte sa contribution, mais sans modifier à chaque
changement de curé le fonctionnement de la paroisse : l’EAP équipe
d’animation pastorale est faite pour cela, avec des représentants
de chaque clocher.
Une autre particularité de la paroisse Saint Augustin est la
présence de la communauté de Taizé sur son territoire. Les jeunes
vont plus volontiers à Taizé qu'à la paroisse ; comment faire des
passerelles entre les deux ? Dans les faits certains paroissiens
habitant proches de Taizé participent aux offices des deux côtés,
et sont engagés dans la vie de la paroisse ; et plusieurs familles
venant à Taizé participent au KTtous sur la paroisse ;
Propositions d'animation pastorale de façon ponctuelle avec une
équipe pour la mettre en œuvre, qui n'est pas forcément constituée
que par des pratiquants habituels. Permet de Communiquer avec les
locaux qui ont laissé tomber les pratiques religieuses habituelles
; : ex : Cortambert-Blanot-Donzy pour la rénovation de la Vierge
de la Roche, avec procession et chants variés le soir du 15 aout.
ex : »l’évangile qui traverse la rue » partage de la parole avec
un petit guide ; maison d’évangile en val de marne ;
Ici, l’homélie du curé le dimanche peut être lue sur le site
paroissial ;
Un des axes, déjà évoqué en EAP, est la pastorale du tourisme,
particulièrement à Cormatin où il y a beaucoup de visiteurs au
château, et où les gens entrent pour voir l'église : il serait
souhaitable de monter une équipe de permanents pour cet accueil
Pour cela, peut-être faire appel à des artistes, nombreux sur le
territoire de la paroisse. Ils peuvent contribuer à faire
découvrir le riche patrimoine de nos églises, tout en éclairant sa
signification religieuse. Ex : la crèche de Noël à Cormatin est
faite depuis quelques années par 3 artistes locaux ; un chemin de
croix a été exposé par M Balleuriaud dans l’église de Chazelles,
et pendant 1 mois dans l’église de Cormatin en 2021.
Proposition : Nous allons mettre un descriptif à
consulter sur place, dans chaque église Romane référencée par la
pastorale du tourisme à lire sur place, grand format sous
plastique( Martine Loctin)
Nécessité d’une équipe pour la préparation du bulletin paroissial
; d’une équipe de préparation au mariage dont 1 membre se rend au
mariage…même si la préparation au baptême et au mariage est
groupée pour les 3 paroisses, sur Cluny.
Un autre axe est le partage de la Parole sous des formes
nouvelles, à faire plus souvent lors des célébrations du dimanche,
comme cela s’est fait lors d’une rentrée de septembre ;
proposition de René Aucourt : le faire le » dimanche de la parole
»23/01/2022, à la place ou avant le sermon, qui reprendrait un
résumé de la parole échangée dans chaque groupe ?
Envisager de le mettre en place en dehors du cadre paroissial,
susceptible d'intéresser des participants plus jeunes ?
Les Obsèques , toujours locales, permettent de rencontrer des
gens que l'on ne voit pas le reste du temps à l'église, et c’est
l’occasion de leur montrer ce qu’est l’église actuelle, accueillir
des gens du territoire ou des familles plus éloignées : c’est un
moment fort d’évangélisation, de pastorale ; idem pour mariages et
baptêmes.
Nb : Les gens réclament spontanément la présence d'un prêtre pour
les obsèques, mais ils s'habituent bien à la présence de laïcs
pour animer ces célébrations (4 personnes formées sur la
paroisse).
Le regroupement des prêtres à Cluny et la multiplication des
réunions auxquelles le curé doit participer complique sa vie, mais
Mgr Rivière a insisté pour que les trois paroisses soient
maintenues pour conforter la vie locale. Les gens vont facilement
à Cluny pour différents services, mais le regroupement à Cluny des
paroisses impliquerait sans doute moins d’engagement de la part
des paroissiens plus éloignés. A cet égard, il semble bon de
maintenir l'organisation actuelle ; sur la durée cela dépendra
beaucoup de l’arrivée de nouveaux prêtres …
Une autre question posée est l'engagement du prêtre sur la
paroisse. S’il y a moins de prêtres cela suppose que les laïcs,
hommes et femmes, s'engagent. Actuellement, trois ministères sont
déjà susceptibles d’être confiés aux laïcs femmes et hommes :
Catéchèse, liturgie de la Parole, et service de la liturgie=
Acolyte.
Ex :Dans certains pays(Amérique du sud par ex) le prêtre n’est
plus aussi central dans l’activité d'une paroisse, tenue par des «
catéchistes » : Il vient souvent 2 fois/an. L’Église ce n'est pas
« une affaire de curé ». Les tâches doivent se répartir et
s'articuler : apprendre à « marcher ensemble »…même si cela nous
semble compliqué face au vieillissement de la population de
prêtres et laïcs dans notre paroisse !!
Introduction par Christian Charlet, complété par Geneviève et
René
Le pape François engage l'Eglise dans une démarche synodale :
apprendre à marcher ensemble, clercs et laïcs sous la conduite de
l'Esprit. Elle invite à un partage en confiance et une écoute
réciproque, d'abord par petits groupes locaux ; C'est une démarche
interne à l'Eglise, qui invite tous les baptisés à s'exprimer,
puis au niveau diocésain et romain :
Dix pôles thématiques sont proposés à la discussion. Le partage
entre clercs et laïcs, localement, avec mise en œuvre d’une
meilleure coopération, est plus important que les documents qui en
résulteront.
Ce synode coïncide dans le temps avec la remise aux évêques de
France du rapport Sauvé (recommandations établies par des laïcs
principalement)
Le synode au plan diocésain
Les différents groupes locaux qui participent au Synode
remettront une synthèse d'ici l’été 2022 au diocèse d’Autun. Les
contributions de chaque diocèse sont transmises à la Conférence
des évêques de France. Ces synthèses doivent privilégier les
points forts apparus dans les groupes et les expériences vécues.
Ce sont des idées de réforme ou d'aménagement que les évêques
transmettront au Pape. Un groupe diocésain s'attachera à dégager
ces points forts, selon les questionnements récurrents dans les
groupes.
Le synode au plan local
Nous avons commencé à réunir ce jour un 1° groupe de personnes en
lien avec l'Eglise, ouvert à toute personne intéressée.
La création des groupes continuera d’être annoncée, par les canaux
habituels (feuille de messe, annonces, site Internet...), et en
invitant ses connaissances.
L’équipe d’animation pastorale (EAP) de notre paroisse St
Augustin a choisi de réfléchir tout d’abord sur le Pôle Vlll «
Autorité et participation », en développant dans un premier temps
« Nous souvenir avec gratitude ».
Christian Charlet relate l’arrivée dans la paroisse du père
Fernez en 1997, qui s'occupait de la paroisse et veillait à tout :
son décès brutal avait fait souffler un vent de panique dans les
villages. Puis conseillés par le père Desgoutte (avant -gardiste
?), les paroissiens se sont organisés et avaient moins besoin d'un
curé pour les affaires courantes. Il avait mis en place des
échanges le dimanche matin avant la messe sur les textes du jour…à
reprendre ?
Avec le père Lefort, souvent absent, ils avaient constitué
une équipe d'animation pastorale, composée de membres élus par
bulletin lors d’assemblées dominicales : répartition des charges
entre laïcs, formation d’une équipe funérailles …Cette dynamique
s'est poursuivie avec le père Cottin. Puis nous sommes entrés dans
une gestion plus classique de la paroisse avec le père Cuisenier,
qui laissait moins d'initiatives aux paroissiens.
Cependant les crèches de Noël sont faites par les paroissiens
(Cormatin, Ameugny), la catéchèse reçoit de l’aide d’une sœur de
St André, des expositions ont été réalisées à l’église de Cormatin
et de Chazelles, mais les marandes, 1 fois/mois ont été
interrompues par l’arrivée du covid
Rappel : Réglementairement, selon la loi française, et
canoniquement, le curé est responsable de tout « du papier
toilette au Saint-Sacrement » ! En pratique les curés endossent
plus ou moins ce rôle, selon les circonstances et leur
personnalité. Certains délèguent volontiers.
Encore faut-il qu'il y ait du répondant parmi les paroissiens,
eux aussi parfois enclins à s'en remettre au point de vue du
prêtre. La liberté de parole est récente : les laïcs auraient ils
gardé l’habitude d’être des « enfants » de Dieu, entre les mains
du Père -curé, et de la Mère- église. ?? les laïcs ont leur
domaine de compétence dans la paroisse, sans enlever au prêtre sa
compétence propre.
Est-ce un problème de participation des paroissiens ou d'autorité
? Comment nous mobiliser ? D'abord en se réunissant autour d'une
table régulièrement pour échanger, ensuite en faisant appel à
certains pour des fonctions précises, en discernant ensemble :
nécessité pour les laïcs de prendre la parole, de s’éduquer à une
réflexion personnelle, nécessité pour les clercs d’écouter et
d'entendre.
Questionnements ce soir : Nécessité de redéfinir l’autorité du
curé et de l’assistante paroissiale, avec formation des prêtres et
des laïcs ?
Qu’est-ce que les laïcs attendent du prêtre ? quelles
responsabilités sont ouvertes aux laïcs dans l’église actuelle ?
A Cormatin, il y a beaucoup de visiteurs en été et lors des fêtes
: comment les accueillir ? comment retrouver la possibilité de
mettre un cierge en prière (problème du tronc à récupérer
plusieurs fois par semaine)
Améliorer le site internet de la Paroisse, le bulletin ?
Et…que connaissons nous du fonctionnement du diocèse et de
l'engagement quotidien de l'évêque ?
Le pape François a annoncé en mai dernier la tenue d’un nouveau Synode des évêques* en 2023. Ce synode porte donc sur la synodalité. Un mot peu utilisé qui signifie « marcher ensemble ». Il se déroulera en trois phases : diocésaine, continentale et universelle.
Le pape François a inauguré ce nouveau synode au Vatican, les 9 et 10 octobre derniers. Une phase diocésaine a débuté le 17 octobre à Autun, elle nous a embarqué avec enthousiasme dans cette démarche. Nous sommes donc particulièrement intéressés localement par la phase diocésaine. Débutant en octobre 2021, elle se poursuit jusqu’au 15 mars 2022. L’objectif de cette phase est la consultation du peuple de Dieu. L’Église se met à l’écoute de toutes les personnes baptisées !
A nous de jouer ! Dans les prochaines semaines l’EAP (Equipe d’Animation Pastorale) vous dira comment faire.
En attendant, si vous êtes intéressés vous pouvez prendre connaissance du document préparatoire sur la page :
https://www.vaticannews.va/fr/vatican/news/2021-09/texte-lu-en-francais.html
*Qu’est-ce qu’un synode des évêques ?
Les synodes des évêques ont débuté à la suite du concile
Vatican II (1962-1965). Le synode a une fonction consultative, une
sorte de « mini concile » qui est là pour manifester la
collaboration entre évêques et approfondir certains sujets. Depuis
leurs débuts, les synodes ont abordé plusieurs sujets d’importance
pour l’Église (la famille, l’Amazonie …).
Jeudi 2 décembre de 18h00 à 19h30 à la Maison Paroissiale
d’Ameugny (16 route de Cortevaix) Autour du thème
Une Église synodale est une Église de la participation et
de la coresponsabilité. Comment sont définis les objectifs à
poursuivre, la voie pour y parvenir et les pas à accomplir ?
Comment est exercée l’autorité au sein de notre Église
particulière ? Quelles sont les pratiques de travail en équipe et
de coresponsabilité ? Comment sont encouragés les ministères laïcs
et la prise de responsabilité de la part des fidèles ? Comment
fonctionnent les organismes de synodalité au niveau de l’Église
particulière ? Constituent-ils une expérience féconde ?